DOSSIERS DU BAGNE DE GUYANE

LE BAGNE DE GUYANE.

SAINT-LAURENT-DU-MARONI: Commune pénitentiaire.



LES PREMIERS DEPARTS.

Carte de la Guyane en 1892
Carte de la Guyane en 1892
Depuis les échecs des tentatives de peuplement de Choisel, en 1765, et de transportation sous le Premier Empire, la Guyane traîne une réputation de terre dangereuse infestée de maladies.
À nouveau, on s’intéresse à elle : son éloignement de Paris la rend plus sure que l’Algérie pour la garde des prisonniers politiques, et les premiers convois quittent la France métropolitaine.

Le 27 mars 1852 le premier transport quitte Brest avec 298 condamnés pour rejoindre les Iles du Salut. Rien n’est préparé pour les recevoir. Les détenus politiques sont regroupés sur l’Ile du Diable, et les condamnés en cours de peine sont placés sur l’Ile Royale. Les convois se succèdent et l’administration doit chercher pour les 2200 nouveaux arrivants dans l’année, des lieux d’hébergement supplémentaires. C’est ainsi, que l’Est du pays est prospecté et utilisé pour l’installation d’établissements pénitentiaires dans la région de la Montagne d’Argent et de Guisimbourg.

Malgré la construction de baraquements de fortune à Remire, sur la rive gauche de l’Oyapock et sur la rivière Comté, les installations manquent et on loge les forçats dans des bagnes flottants au large de Cayenne et de Kourou, comme aux pires conditions du Moyen Age.

SAINT-LAURENT-DU-MARONI: Commune pénitentiaire.

Saint-Laurent-du-Maroni
Saint-Laurent-du-Maroni
Ces installations de fortune ont de grands défauts de préparation et d’aménagements sanitaires, ce qui entraîne de lourdes pertes en vies humaines parmi les personnels de l’Administration Pénitentiaire et les bagnards, mal nourris, affaiblis par les durs travaux qui leur sont infligés, ne résistent pas aux maladies tropicales, fièvre jaune, paludisme, dysenteries.... Ces conditions de « survie » aggravent la réputation du bagne et le triste renom de la Guyane.

La loi de 1854 prévoit le peuplement de la colonie par un système de concessions réservées aux prisonniers libérés. Les plus méritants pourraient recevoir une terre et fonder une famille. Alors pour répondre à ce nouveau besoin, il fallait trouver une zone plus hospitalière.

C’est ainsi que le 23 août 1857, le Commandant Mélinon en prospectant les rives du fleuve Maroni, débarque avec 12 transportés dans le village amérindien KAMALAGOULI, du nom du chef de cette communauté Galibi. Ce placer bénéficie d’une bonne réputation sanitaire, car à la même hauteur sur l’autre rive du Maroni, en territoire hollandais, se trouve le prospère village d’Albina. Dès lors, une nouvelle ville est créée avec des rues tracées au cordeau et la construction du Camp de la Transportation est entreprise. Sur la photographie on remarque cerclés de vert et de rouge les vestiges de l’appontement administratif et en bleu l’emplacement du Camp de la Transportation.

Ancien blason de Saint-Laurent-du-Maroni.
Ancien blason de Saint-Laurent-du-Maroni.

SAINT-LAURENT-DU-MARONI: Une ville.

L’ancien blason de la ville de Saint-Laurent-du-Maroni est particulièrement représentatif du statut de cette Commune pénitentiaire, qui a été crée par et pour le bagne de Guyane par l’Administration Pénitentiaire (AP).
Il faut préciser que celle-ci a été érigée en Commune de plein exercice le 11 novembre 1949, et que la première élection démocratique et officielle de son maire n'a été organisée qu’en 1951.

Ainsi les figures qui hornent le blason de la ville sont significatives, et on trouve :
- Dans le canton senestre du chef, les grilles et les barreaux de la prison, avec au-dessus, deux clés croisées, symbole de la réclusion.
- Dans le canton dextre du chef, le glaive et la balance, symbole de la justice.
- Dans le canton senestre de la pointe, une coupe d’un tronc d’arbre sur fond vert, symbole de la forêt guyanaise.
- Dans le canton dextre de la pointe, deux marsouins rouges et une ancre de bateau noire sur fond bleu, couleurs et symboles de l’organisation et de la gestion de la Commune pénitentiaire par les Troupes coloniales ou Soldats de marine.
- Au centre, une salamandre posée sur une grille au-dessus d’un brasier représente le martyre de Saint Laurent, Saint patron, protecteur de la Commune. Le nom de Saint-Laurent-du-Maroni a été donné le 21 février 1858 à la ville par le Contre-Amiral Laurent BAUDIN, Gouverneur de la Guyane, en l’honneur de son père et son grand père, qui portaient comme lui le prénom Laurent.

Organisation de la ville.
Organisation de la ville.

SAINT-LAURENT-DU-MARONI: Une organisation urbaine.

Le 16 mars 1860, Saint Laurent du Maroni est constitué en « Territoire pénitentiaire du Maroni », et la ville est organisée en trois parties.

- Ici, en vert, le quartier officiel où se trouvaient les bâtiments administratifs et les logements des surveillants. Quartier strictement interdit aux bagnards, à l’exception de ceux qui parmi les plus dociles étaient employés comme « garçons de bonne famille » ou domestique.

- En jaune le quartier colonial qui comportait les commerces et les habitations civiles. Il était organisé en damier avec de larges rues pour faciliter la circulation et la sécurité des habitants et de grandes avenues orientées Nord-Sud, pour permettre une ventilation naturelle qui apportait de la fraîcheur sous l’influence des alizés dominants.

- En rose le quartier carcéral regroupant le Camp de la Transportation, la caserne des troupes de marines et l’hôpital du bagne.

Entrée du Camp de la Transportation.
Entrée du Camp de la Transportation.

SAINT-LAURENT-DU-MARONI: Le Camp de la Transportation.

Ainsi, de 1860 à 1946 Saint Laurent du Maroni sera « la capitale » du bagne de Guyane. Elle verra se déverser sur le ponton administratif par arrivages successifs un flot de criminels, de voyous, de rebelles, de marginaux, en bref les hommes et les femmes que la France ne voulait plus.

Ils étaient embarqués à l’Ile de Ré, une à quatre fois par an, sur des bateaux aménagés pour ces transports, dont les plus connus étaient La Loire et le La Martinière.

Débarqués, sous haute surveillance, ils parcouraient à pied, tête basse, l’itinéraire qui les conduisaient au « grand collège » le Camp de la Transportation, où ils franchissaient la porte,et pour beaucoup pour la dernière fois.

Arrivés au centre de la cour intérieure, une fois l’appel terminé, ils étaient séparés suivant leur catégorie :
- les transportés, détenus condamnés aux travaux forcés ou à de lourdes peines de prison ;
- les relégués, multirécidivistes, condamnés au moins trois fois trois mois, plus un jour, à des peines de prison ;
- les déportés, condamnés politiques ou pour crime d’état, espionnage ou trahison, étaient placés sur l’Ile du Diable.

Les transportés étaient répartis sur les différents camps qui s’étendaient des Hattes, en bordure de l’océan, à la Forestière, sur le Maroni près du village d’Apatou. Les « durs », les plus récalcitrants, « les inco », entendez par là, les incorrigibles, étaient conduits dans le camp de Charvein ou de Godebert qui étaient surnommés « les camps de la mort », à cause de leur extrême dureté.
Les relégués ou « pieds de biche » étaient conduits à Saint Jean du Maroni, à 17 km au Sud de Saint Laurent.

Ainsi la vie carcérale s’organisait, Les condamnés étaient affectés à différents travaux, déforestation, construction de routes, briqueteries, carrières, et divers travaux d’intérêt collectif.

D’autre part, ils étaient soumis à une enquête anthropométrique. Il s’agissait pour le corps médical de réaliser des analyses à travers différentes mesures pratiquées sur les bagnards, pour cataloguer le profil type du délinquant ou du criminel, afin de permettre à la bonne société de dépister les individus suspect.

LE CAMP DE LA TRANSPORTATION: Une vie carcérale.

Les cases à simple ou double étage.
Les cases à simple ou double étage.
Le soir venu, les corvées terminées les détenus rejoignaient la cour centrale du Camp de la Transportation pour l’appel, puis pour y passer la nuit.

Ils étaient entassés dans des cases conçues pour 2000 forçats dans un état de promiscuité totale. Il est vrai que cet univers carcéral, n’engendrait pas les bonnes meurs, et forcément les plus jeunes qui arrivaient, subissaient les convoitises des plus anciens...
Il y avait un marchandage d’hommes qui entraînait régulièrement des crises de jalousie et des bagarres.

Les bagnards plus débrouillards travaillaient à de petits boulots, ainsi ils pouvaient gagner un petit peu d’argent. Alors le soir, à l’intérieur de ces cases, ils jouaient aux cartes, aux jeux d’argent et pour celui qui était pris en train de tricher, ça se terminait toujours par des coups de couteau et de la bagarre. Les coupables subissaient rapidement l’implacable règlement intérieur du bagne.

Ici, la sévérité de la discipline avait atteint un degré abominable de cruauté, surtout quand l’application rigoureuse du règlement ignore l’homme.

LE QUARTIER DISCIPLINAIRE.

Le quartier disciplinaire.
Le quartier disciplinaire.
Le règlement intérieur du bagne les conduisait très rapidement dans le quartier disciplinaire, dans lequel se trouvaient le tribunal maritime spécial et son prétoire, dont la porte est cerclée de rouge sur la photo.

C’était une juridiction d’exception devant laquelle était présenté le prévenu.

C’était un bagnard qui avait enfreint le règlement : avoir adressé la parole au gardien, sans autorisation, porter le chapeau au moment où il était interdit de le porter, parler sur les rangs, car il était interdit de parler lorsqu’on était au bagne, avoir agressé un proche ou un gardien…

Traduit devant cette parodie de justice, il avait droit à un avocat requis d’office, également à des témoins, mais la sentence était connue d’avance, car le catalogue des punitions était très étendu : privation de nourriture, cachot, enchaînement, isolement, réclusion complète et peine capitale.

Puis il purgeait sa peine dans de terribles conditions de détention.

LA RECLUSION INDIVIDUELLE.

Quartier disciplinaire. Cour de la réclusion.
Quartier disciplinaire. Cour de la réclusion.
On trouvait des conditions de détention qui étaient identiques pour les « Libérés » les « Relégués » et les « Transportés ».

Les déportés étaient soumis à un régime tout à fait spécial, c’étaient des détenus qui se retrouvaient directement sur l’Ile du Diable.

Les « Libérés », étaient une catégorie de bagnards qui subissaient la peine du doublage et qui restaient soumis à l’administration pénitentiaire. Ils ne retournaient pas vraiment à la vie civile, ils étaient toujours gérés par l’administration pénitentiaire,et lorsqu’ils commettaient des délits en ville, ils étaient traduits devant le tribunal maritime spécial qui les enfermait dans des cachots en réclusion individuelle.

Les « Relégués » étaient traités à part, car c’était une population de petits malfrats particulièrement déconsidérée par les « Transportés ».

Des batteries de cachots accueillaient les " Relégués" et " Libérés ". Sur chaque fronton, les lettres L ou R permettait de bien différencier l’affectation des locaux. La photo présente la cour centrale de la réclusion dans laquelle étaient enfermés les « Transportés », avec la particularité d’y trouver le quartier des condamnés à mort.

C’était le « quartier spécial » dans lequel étaient cloîtrés les forçats en attente de la peine de mort.

Il y avait une batterie de 160 cachots affectés à la réclusion individuelle.

LA RECLUSION COLLECTIVE.

La réclusion collective se purgeait dans des locaux appelés « blockhaus ».Dans ces lieux se réglaient pas mal de comptes.

Sur la photo, ci-dessous, on aperçoit au sol la fameuse barre de justice, cette barre qui servait le soir à immobiliser les bagnards. Si dans la journée ils étaient libres de leurs mouvements à l’intérieur de cette enceinte, à partir de 16 h., ils étaient remis directement sur « le taulas ».

Ils étaient allongés sur cette paillasse recouverte de planches, soit avec une boucle pour immobiliser un des membres inférieurs, soit deux boucles, sur les deux membres inférieurs selon la punition qu’ils devaient subir.

Ainsi de 16 h, jusqu’à 6 h le lendemain matin, ils étaient enfermés et attachés. Ils n’étaient plus libres de leurs mouvements…

LE PLAN.

Un blockhaus.
Un blockhaus.
Dans ces « blockhaus », il y avait des toilettes. Des W.C. à la turque qui étaient appelés par les bagnards, « la chambre d’amour ». Il n’est pas utile de donner plus de détails pour expliquer l’utilisation particulière de ce lieu…
Ces toilettes servaient aussi au bagnard pour cacher son « plan ». Le « plan » c’était un tube qui ressemblait à un étui de cigare comme on le trouve actuellement. A l’intérieur, le bagnard enfermait des photos souvenirs, des plans d’évasion, d’où le nom de l’objet, ou directement de l’argent, ses économies, car il n’existait aucun vestiaire pour ces hommes.
Tous leurs biens, ils devaient les porter sur eux, du chapeau à larges bords à la tenue rayée. Mais ce qu’ils pouvaient soustraire à la vue de leurs congénères ou le protéger, l’était grâce au « plan ».
Son utilisation nécessite quelques commentaires un peu sordides, mais c’est l’histoire et on n’y peut rien. En effet, le seul endroit où le plan pouvait être caché en sureté, jour et nuit, c’était l’intestin du bagnard. Ainsi, vous imaginez par quel chemin devait être introduit le plan…
Alors, lorsqu’un forçat était malade, surtout de dysenterie, et qu’il ne pouvait pas conserver ce plan, il le confiait à quelqu’un de confiance. Dans ce contexte, un bagnard pouvait porter un, deux, voire trois plans pendant toute la période qui était nécessaire.
Mais « le plan » faisait l’objet d'une permanente convoitise. Des bagnards entre eux, et d'autre part, d’une autre catégorie de bagnards, les « porte-clés » : bagnards d’origine maghrébine, qui chaque fois qu’ils le pouvaient n’hésitaient pas à s’emparer de ces fameux plans. Ils ne rataient aucune occasion. Si bien, que lorsqu’il y avait des bagarres, et lorsqu’un bagnard était vaincu, la première chose qui se faisait, c’était d’écarteler ce bagnard en lui tenant les membres inférieurs et supérieurs à deux, à trois ou à quatre, et sauter à pieds joints sur ses intestins pour faire évacuer ce fameux plan. Et même lorsque le bagnard était mort, ils n’hésitaient pas souvent à l’éventrer d’un coup de couteau pour récupérer ce fameux plan qui était une source de revenu supplémentaire…
C’était la vie du bagne. La vie au quotidien…

Mardi 16 Novembre 2004
Yvan MARCOU
Lu 99344 fois

Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

1.Posté par LANCON - JEUDON Christine le 17/11/2005 16:15 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,

Une belle lecture qui m'en apprend beaucoup.....
Mon père LANCON Henri etait surveillant aux survices penitentiaires de guyanne je crois dans les années de 1945 à 1949 date de son retour
Jamais il ne m'a expliqué cette tranche de vie, il m'a quittée il y a bien longtemps...Alors là je peux l'imaginer.....
Merci à tous
Christine

2.Posté par webmaster le 17/11/2005 18:11 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Nous ouvrons ce jour un "CHAT" spécial qui traite de l'histoire des Bagnes, dont ceux de Guyane.Si vous pouvez nous apporter des témoignages ou des informations concernant ce sujet, ces pages vous sont grandes ouvertes.Dans l'attente recevez nos cordiales salutations. Par avance merci.

3.Posté par de gregorio cla.. le 06/05/2006 20:35 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
vraiment beau votre siteje m'y suis interessée parce que au hasard de recherches généalogiques j'ai appris qu'un cousin de mon grand-pere a fini sa vie a cayenne il est décédé a l'hopital de l'ile royale le 19 avril 1858 et s'appellait LOUIS ROUGET je ne trouve pas de site qui me permette de savoir avec quel bateau il est parti de brest le 29 octobre 1857 quelles étaient les conditions de détentions et dans quel bagne il a atterriautant vous dire que dans la famille jamais personne n'a parlé de cette histoire et pourtant dans son village de DAUMERAY dans le MAINE ET LOIRE

4.Posté par YM le 07/05/2006 10:46 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,Merci pour vos encouragements.En ce qui concerne Louis ROUGET, il a fait partie des tous premiers convois qui ont rejoint les bagnes de Guyane à partir du 11 mai 1852. Actuellement, il n'existe pas de site internet qui traite de dossiers particuliers. Mais je compte bien développer le mien dans ce sens.Dans l’immédiat je crois pouvoir vous dire que si Louis ROUGET a quitté Brest le 29 octobre 1857, c’était à bord du bâtiment ADOUR, qui était le 26ème convois de transporté arrivé en Guyane le 9 décembre 1857. Ce convois comprenait 480 transportés de 1ère classe et 18 de 3ème classe.Toutefois, si vous le souhaitez je pourrais poursuivre les recherches à partir de la fiche de renseignements transmise en pièce jointe.Dans l’attente recevez mes cordiales salutations.

5.Posté par gautier valentin le 23/04/2007 14:20 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour
qui pourrait me donner des renseignements sur mon arrière arrière grand père mort en août 1900 à Saint jean du Maroni
Il avait 10 enfants en métropole et était tonnelier

était-il en guyane pour travailler ou était-ce un bagnard ??

merci de me donner des renseignements
bien cordialement

6.Posté par YM le 24/04/2007 18:29 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour M. Gautier,

Saint-Jean-du-Maroni était le site de Guyane, près de Saint-Laurent-du-Maroni, plus particulièrement réservé à la relégation.
Les relégués appelés "pieds de biches", étaient une des 4 catégories de condamnés au bagne.
Dans ce contexte, il est probable que votre arrière-arrière grand père est été envoyé à la relégation...
Si j'ai plus de détail, je ne manquerais pas de vous le faire connaître.
Je vous transmets par courriel une fiche de renseignements.
Dans l'attente, recevez mes cordiales salutations.

7.Posté par DC le 30/06/2007 19:22 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,
Je cherche l'origine d'une chanson dont le titre est "Cayenne", elle ne figure dans aucun des ouvrages que j'ai consulté (Mémoire de la chanson, M. Pénet, et Antologie de la chanson francaise, M. Robine). En fait j'ai des doutes quant à son anciennenté vu le style qui me parait plutôt, disons... "moderne", d'un autre côté ce sont des alexandrins classiques (avec coupure à l'hémistiche), voici le texte:


Cayenne (origine inconnue)

Je me souviens encore de ma première femme,
Elle s'appelait Nina, une vraie putain dans l'âme,
La reine des morues de la rue Saint-Denis
Elle faisait le tapin près d'la rue d'Rivoli.

(Refrain)
Mort aux vaches, mort aux condés,
Vive les enfant d'cayenne à bas ceux de la sureté.

Elle aguichait l'client quand mon destin d'bagnard,
Vint frapper à sa porte sous forme d'un richard.
Il lui cracha dessus, rempli de son dédain,
Lui mit la main au cul et la traita d'putain.

Moi qui était son homme et pas une peau de vache,
Moi qui dans ma jeunesse vit l'principe de l'apache,
J'sortis mon 6-35 et d'une balle en plein coeur
Je l'étendis raide-mort et fus serré sur l'heure.

Aussitôt arrêté fus mené a Cayenne
C'est là que j'ai purgé, les forfaits de ma peine.
Jeunesse d'aujourd'hui ne faites plus le con,
car pour une simple conn'rie on vous jette en prison.

Si je viens à mourir je veux que l'on m'enterre,
Dans un petit cimetiere près de la place Saint Martin.
Quatre cent putains à poil viendront crier tres haut:
"C'est le roi des julots que l'on mène au tombeau !"

8.Posté par MORAES le 31/07/2007 17:54 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour!
je suis étudiente universtire ici au Brésil et mantainant j'étude l'histoire de la Guyane Française... en octobre je vais présenter une communication sur les bagnes de la Guyane dans un congrès d' ABECAN- ASSOCIAÇÃO BRASILEIRA DE ESTUDOS CANADENSES- où je vais parler plus spécifiquement sur quelques témoignages des bagnards. Vous pouvez m'aider? Je n'ai quelques documents et j'ai besion d'avoir plus matériaux. Par avance merci. (excusez-moi mon français pauvre)

9.Posté par MARCOU Yvan - webmaster le 31/07/2007 19:11 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,
Dans un premier temps, je vous communique le lien qui vous permettra d'écouter la chanson...interprétée par "Les amis d'ta femme".
http://la-driade-k10.mabulle.com/index.php/2007/04/25/58838-cayenne
Je poursuis les recherches.
Recherches qui m'ont amenées au groupe rock PARABELLUM, qui a interprété et adapté la chanson Cayenne, qui est une reprise d'Aristide BRUANT
Cordiales salutations.
@+

10.Posté par Sébastien le 16/09/2007 15:04 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Salut à tous,
je vis depuis quelques années en Guyane et je m'intéresse beaucoup aux chants de bagnard. je m'intéroge également sur l'origine de la chanson "Cayenne" et je n'arrive pas à en confirmer la paternité à Aristide Bruant. Je prends donc volontier tout renseignement à ce propos ou sur d'autres chants évoquant le bagne.

11.Posté par Jean le 24/09/2007 20:58 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour, je suis historien et je voudrais savoir quelle fut au bagne de Saint Laurent du Maroni la fonction du nommé Tell, fonctionnaire de l'administration pénitentiaire vers 1910 -1920. (je le crois d'origine guadeloupéenne) . Fut-il directeur du bagne comme certaines sources l'affirment? Sa fille Eugénie Tell, épousa le gouverneur Félix Eboué (mariage célébré à St Laurent en 1922). Elle fut sénateur de la Guadeloupe de 1947 à 1954.

12.Posté par Webmaster. le 24/09/2007 23:41 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Elisabeth Charlotte Andrée Eugénie EBOUÉ-TELL est née le 23 novembre 1891 à Cayenne.
Fille du directeur de l'Administration pénitentiaire en Guyane, elle poursuit des études secondaires au lycée de jeunes filles de Montauban.
Après le brevet supérieur et un diplôme de sténo, elle revient en Guyane, à St-Laurent-du-Maroni, où elle exerce les fonctions d'institutrice.
Le 14 juin 1922, elle épouse Adolphe Félix Sylvestre EBOUÉ. Elle le suit dans sa carrière coloniale et le seconde, surtout en Afrique, et l'aide pour la connaissance des dialectes locaux.
En août 1940, tous deux se rallient au général de Gaulle : Félix Eboué devient gouverneur de l'Afrique équatoriale française et Eugénie Eboué-Tell, engagée dans les Forces Françaises Libres, est affectée comme infirmière à l'hôpital de Brazzaville.
En 1944, elle est décorée de la croix de guerre et de la médaille de la Résistance.
Son engagement politique au sein de la SFIO date de 1944 : déléguée à l'Assemblée consultative provisoire, elle est élue conseiller municipal de Grand Bourg à la Guadeloupe, puis devient députée aux deux assemblées nationales constituantes de 1945 et 1946, avant d'être élue au Conseil de la République le 15 décembre 1946.
Au Palais du Luxembourg, elle adhère au groupe socialiste et siège à la commission de l'éducation nationale puis de l'intérieur.
Sa première intervention en séance publique, en 1947, porte sur la situation à Madagascar.
La même année, membre du nouveau parti fondé par le Général de Gaulle, le RPF, elle se présente avec succès aux élections municipales, puis à celles du Conseil de la République où elle participe aux travaux de la commission des douanes.
Son intérêt pour les questions relatives à l'outre-mer la conduit à s'exprimer à plusieurs reprises à la tribune de la Haute assemblée et avec beaucoup de compétence, sur l'extension de la sécurité sociale aux territoires d'outre-mer, le traitement des fonctionnaires et le régime fiscal dans les départements d'outre-mer, etc.
En 1951, elle est vice-présidente de la commission de la France d'outre-mer, puis le 10 juillet 1952, après avoir quitté le Palais du Luxembourg, elle devient vice-présidente de l'Assemblée de l'Union française. L'année 1956 voit sa défaite aux élections législatives anticipées dans la 5ème circonscription de la Seine ; en revanche, elle est élue en 1958 conseillère municipale d'Asnières
Elle décède à Pontoise (Val-D'Oise) le 20 novembre 1972.
Elle était commandeur de la Légion d'Honneur, croix de guerre 39-45 et rosette de la Résistance.
Elle était également commandeur de l'Ordre du Tchad et de l'Ordre de la Côte d'Ivoire
Le collège N°1 de St-Laurent-du-Maroni porte son nom

En 1945-1946, elle est député socialiste de la Guadeloupe.
De 1945 à 1952, elle siège au Conseil de la République.
De 1952 à 1958, elle est conseiller de l'Union française, assemblée dont elle est vice-présidente en 1952-1953.
De 1959 à 1962, elle devient membre de la section des activités sociales du Conseil économique et social.
De 1958 à 1971, elle est conseillère municipale d'Asnières.

13.Posté par REA le 16/10/2007 16:59 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,
Ayant lu le livre "Papillon", Henri Charrière, exise t-il un site, où, il est possible de trouver des photos de lui, avant, pendant ou après sa réclusion. Merci pour ce superbe site. Salutations.

14.Posté par Webmaster. le 16/10/2007 18:23 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,
A ma connaissance, il n'y a pas de sites qui proposent des photos de Henri CHARRIÈRE alias "Papillon".
Mais vous pourrez en trouver sur des anciens Paris Match N°1046 - 1049 et 1058, qui traitent de la sortie de son livre et de son retour en Guyane.
Cordiales salutations.
@+ YM

15.Posté par Marie-Jeanne CAPPELLESSO le 20/10/2007 23:38 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Je cherche un receuil-livre qui a été écrit sur mon arrière grand-père (d'après les dires de ma grand-mère lorsque j'étais ado). Voici ce que j'ai pu trouver après avoir demandé l'extrait de naissance de mon ar.gd-père :il s'appelait :Adrio, Bernardino, Antonio GONZALEZ n en 1833, sans précisions de jour ni mois de naissance,d'origine espagnole il vivait à Sidi-Bel-Abbès en
Algérie, émigré , il a été condamné au Bagne de Cayenne à perpétuité pour le crime d'une femme, il a toujours nié, il était innocent, le vrai meurtrier a tué à nouveau 12 ans après, et a reconnu ce premier crime en précisant que Adrio GONZALEZ purgeait une peine, mon ar.gd-Père a été relaché, l'acte intégral de ma grand-mère précise qu'il s'est marié le 8.02.1883 avec Catalina, Bernabela Maria de Los Dolorès BLANCO née en 1853. On peut supposer qu'il était à Cayenne aux alentours de "1860-1872". Votre oeuvre est particulièrement intéressante, et saisissante quant aux travaux des forçats, cette vie d'horreur ou la mort est omniprésente. Merci de tout coeur, à l'avance, et peut-être avez-vous entendu parlé de l'histoire vraie de mon arrière gd-père, j'ai contacté la Justice sur le Net également pour demander copie du proès, j'attends une réponse de leur part. Sincères salutations.
Mme Marie-Jeanne CAPPELLESSO

16.Posté par paugam le 16/11/2007 11:25 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Super intéressant,papillon était le frère de ma grand mère ,nous les enfants ne connaissions pas son existence et au moment de la parution de son livre ...un secret de famille explosait ,j 'en garde un souvenir très précis et somme toute très amusant

17.Posté par Sandie le 23/11/2007 14:40 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,

Dans l'histoire familiale, on m'a toujours dit que mon arrière grand-père, dénommé PFAENDER, originaire de Granvillars (Franche Comté) avait, aux alentours de 1900-1914, fait partie de l'administration du bagne, dont il aurait été directeur (?).

L'une de ses filles, Thérèse PFAENDER, ma grand-tante, était née à Saint-Laurent du Maroni au début du siècle.

Auriez-vous quelques précisions ?

18.Posté par Christian le 04/12/2007 22:28 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour, et... félicitations pour votre site et la disponibilité dont vous faîtes preuve à l'égard de vos visiteurs. Une personne vient de me poser une colle en me demandant quel centre pénitentiaire ferme le 2 juillet 1947. Le site lephemeride.com associe cette fermeture au bagne de Cayenne. Quel événement précis justifierait cette date sachant que le retour de Seznec est daté du 1er juillet et que les retours se font pourtant jusqu'en 1953 (avec le retour en métropole du san mateo).

Cordialement.

19.Posté par NORDINE le 10/12/2007 23:25 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
BONSOIR,
JE RECHERCHE DES INFORMATIONS SUR LE CIMETIERE DES BAGNARDS. MON ARRIERE GRAND PERE A ETE FORCAT AU BAGNE DE 1934 A 1937. MALHEUREUSEMENT DECEDE SUITE A MALADIES PULMONAIRES EN 1937.
IL VENAIT D'ALGERIE - INCARCERE SUITE A ASSASINAT LE 1ER DECEMBRE 1934 A BOUGIE (KABYLIE).
LE CRIME COMMIS A ETE COMMIS PAR UN AUTRE DONT IL A AVOUE SON CRIME AVANT SON DECES EN 2001.
LE NOM DE MON GRAND PERE ETAIT TARROUANSAID ALI - MATRICULE N°52775.
SI QUELQU'UN A DES RENSEIGNEMENTS SUR MON GRAND PERE OU LE CIMETIERE DES FORCATS SERONT LES BIENVENUES. (DOSSIER EXAMINE AU CENTRE D'AIX EN PROVENCE MAIS RIEN SUR SON DECES OU LE LIEU D'ENTERREMENT - DOSSIER SERA REMIS SEULEMENT EN 2034).
MERCI A TOUS.
CORDIALEMENT.

20.Posté par M. Dreuilhe le 16/12/2007 20:59 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour,
Est-ce que le centre pénitentiaire de Saint-Laurent-du-Maroni a bien été fermé : le 2 juillet 1947?
Ou bien quel centre pénitentiaire a été fermé ce jour là?
merci de m'éclairer

21.Posté par Aguilar Delphine le 27/12/2007 19:11 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Le frère de mon grand-père a été condamné à 20 ans de bagne à Saint-Laurent-du-Maroni en 1934 pour tentative d'assassinat et vol qualifié. Il y meurt le 07/08/1940.Le secret de famille a longtemps était gardé.Mon grand-père ne m'a jamais parlé de son frère, il s'appelait Jean Clément Guy Cluzel , il est mort loin des siens, seul, repenti...Il se serait confessé à un prêtre.J'aimerais en savoir plus et je serai reconnaissante à quiconque pourrait me transmettre des renseignements sur lui.

Le webmaster.
Bonjour,

Merci pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'histoire des Bagnes de Guyane.
En ce qui concerne votre grand-père, je vous transmets une fiche qui vous permettra de regrouper des informations utiles pour entreprendre les recherches qui vous intéressent.
Si vous pensez que je suis en mesure de vous être utile, rassemblez le maximum d?informations demandées, car au moyen de ce document je pourrais, dans le cadre de mon travail et dans la mesure du possible, trouver les indications que vous attendez depuis longtemps.
Cordiales salutations.
@+

22.Posté par franck le 29/12/2007 13:14 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
si tu le souhaite j ai une 20 de photo du bagne des ile du salut de cet année. mon adresse. yanfranky@hotmail.fr

Le webmaster.
Bonjour,

Je vous remercie pour l'intérêt que vous portez à note site et à l'histoire des bagnes de Guyane.
En ce qui concerne les photos, j?ai bien pris note de votre disponibilité qui pourrait être utile un jour...
Dans l?immédiat j?utilise notre photothèque.
Dans l?attente recevez nos cordiales salutations.
@+

23.Posté par anne marie mangé le 30/12/2007 13:46 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Re bonjour aujourd'hui
Je viens de lire tous les témoignages,demande de renseignements ou de recherche
J'ai également une question sur le bagne de St Augustin construit sur l'emplacement de l'habitation Eléonore à Cacao
Lors des visites que j'y fait chaque année à l'occasion des journées du patrimoine,on nous dit que ce bagne a été créé pour recevoir les bagnards après leur temps de peine!!
Je ne comprends pas du tout ce discours:la date de création de ce bagne aux environs de 1854 alors que les premiers bagnards venaient à peine d'arriver,ou alors ce n'était pas un "bagne" digne de ce nom.
Il est vrai qu'il n'a pas fait de vieux os ,lui aussi,vu l'hécatombe qui y régnait
merci de m'éclairer sur ce point,car je ne sais pas où chercher
avec ma gratitude
nanou

24.Posté par BAHI SALIM le 03/01/2008 11:46 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour, j'aimerais bien savoir les origines de papillon l'évadé du bagne
,merci beaucoup et bonne année 2008 .

Bonjour,

Merci pour vos bons v?ux et pour l'intérêt que vous portez à notre site.
En ce qui concerne PAPILLON, ou Henri Charrière était fils d?un instituteur de l?Ardèche. Engagé dans ma Marine Nationale, sa conduite qui fut chaotique l?amènera dans un bataillon disciplinaire en Corse.
Réformé en 1927, suite à un accident, il s?établit à Paris où ses activité de proxénète à la solde de son amie?Nénette?, ce qui ne lui attire pas que des amis.
Son rôle de d'indicateur pour la police lui vaudra quelques protections bénéfiques.
Son surnom de PAPILLON lui est déjà donné lorsqu?il est accusé du meurtre de Roland Legrand, et il est condamné par la cour d?assise de la seine au bagne à perpétuité en octobre 1931.
En 1933, il est embarqué à bord de La-Martinière pour la Guyane avec le matricule 51357.
Il est tout d?abord employé comme infirmier à l?hôpital de Saint-Laurent-du-Maroni.
Un première évasion le 5 septembre 1934 le conduit en Colombie où il est arrêté le 13 décembre 1934 et reconduit en Guyane en 1935.
Jugé par le Tribunal maritime spécial, il écope d?une peine de 2 ans de réclusion sur l?île Saint-Joseph où il y débarque le 19 septembre 1935.
Condamné à 207 jours de cachot durant ces deux années, et relevé le 18 septembre 1937.
Affecté à nouveau à Saint-Laurent-du-Maroni, il est condamné à 2 ans d?emprisonnement sur l?île Royale le 2 mars 1939,suite à une bagarre au cours de laquelle il porta des coups de couteau à un autre condamné qui l?avait traité de mouchard.
Sur l?île Royale il occupa de nombreuse fonctions dont celle de vidangeur.
Rapatrié en 1943 en métropole, il s?évade à nouveau le 19 mars 1944, et il séjournera au Venezuela et obtiendra la nationalité du pays en 1956.
Décédé en 1972 à l?age de 70 ans, il est enterré à Lanas, prés d?Aubénas, au côté de sa mère, Louise Charrière.

Ce qu?il faut retenir de son histoire, c?est que PAPILLON était un affabulateur, un mythomane qui s?est octroyé avec beaucoup de bienveillance des aventures survenues à d?autres qu?à lui.
Mais il avait laissé, au bagne, le souvenir d?un brave type...

Cordiales salutations.
Yvan MARCOU

25.Posté par senac roger le 06/01/2008 16:27 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Je suis né à Saint-Laurent-du-Maroni en 1937. Je suis le fils d'un surveillant du bagne. Je souhaiterais converser avec des personnes ayant vécu au bagne.
Merci de me contacter.

Bonjour,
Merci pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'histoire des Bagnes de Guyane.
En ce qui concerne les personnes ayant vécu au bagne, il n?y a en plus, le dernier bagnard étant décédé dernièrement .
Toutefois, il reste encore quelques personnes âgées qui ont connu cette période.
Je vous transmets un lien qui vous rapprochera de l?une d?elle, en la personne de M. Edouard ROYER.
http://www.97320.com/M-Edouard-ROYER,
-temoin-privilegie-du-siecle-a-St-Laurent-2-_a1021.html

Je vous transmets également un document qui vous intéressera certainement. C?est celui de M. Emile DEMARET, ancien surveillant
file:///Users/yvanmarcou/Desktop/BAGNE/BAGNE-UNESCO/
%20Dossiers%20Bagne/Surveillant%20au%20bagne/articleimp.php3.html

Vous pouvez également vous procurer le livre de Jean SIMOLA ? Le bagne de mon père ? édition A.C.A.

Je demeure à votre disposition pour toute information complémentaire.
Cordiales salutations.
Yvan MARCOU

26.Posté par Sébastien le 06/01/2008 17:48 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Salut à tous,
Il manque les premiers vers de la chanson de bagnard proposée dans l'article intitiulé "chant traditionel du bagne". Il s'agit d'un poème de Fitoussi qui se chantait sur l'air "les batelier de la Volga".
les vers manquants sont:

Le cri d’une sirène
Un bruit de chaînes
Le convoi part
Ils sont hâves et blêmes
Tout un poème
En leur regard

Cohorte douloureuse
C’est l’armée malheureuse
De ceux que Thémis appelle Aujourd’hui
Qui vont quitter à jamais leur pays

Sébastien



27.Posté par BOURRIER Alain le 06/02/2008 11:08 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
J'ai été amené à établir la généalogie ascendante de Rouget le Braconnier, cité par une de vos correspondantes ci-dessus. Elle figure désormais dans la mairie de Daumeray.
On peut atteindre cette généalogie en passant par mon blog ci-dessus.
Cordialement
zabulle

28.Posté par senac roger le 07/02/2008 20:58 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

REPONSE A NORDINE DE SON MESSAGE DU 10.12.2007;

Je suis fils de surveillant et j'ai vécu à St Laurent du Maroni de 1937 à 1950.
A cette époque, les condamnés qui se trouvaient à ST Laurent, étaient enterrés dans le cimetière de St Laurent, dans une partie réservée au fond du cimetière.
Pour les condamnés qui séjournaient aux iles du salut, malheureusement, il étaient jetés à la mer.
Pour les Bagnard lépreux, ils étaient enterrés au camp de St Louis.
Pour Cayenne et les autre camps, j'ignore le lieu d'inhumation.
Cordialement.
Roger Sénac.

Le webmaster.
Merci pour ces informations.
Pour Cayenne, il existait un carré du cimetière réserve aux bagnards.
Il en reste encore des traces.
Cordiales salutations.
@+

29.Posté par BLANCHARD FRANCOISE le 26/02/2008 19:28 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Bonjour houpi enfin je vais peut-être connaitre le sort de mon grand-père envoyer au bagne entre 1900 et 1940 à la suite d'un incident à bord d'un bateau(malheureusement notre grand-mère ne nous à pas donnée plus de détails) .
L' eau étant rationné mon grand-père infirmier matelot à endosser (n'étant pas marié) l'altercation entre un supérieur et un autre matelot ( marié et père) pour avoir pris de l'eau rationné je n'ai que peu d'informations sauf sa date de naissance : Le Hêtet Albert né le 06/10/1894 rue de la comédie à Lorient?

il n'est pas décédé au bagne mais à Lorient en 1941. tous mes frères et seurs ont à coeur de savoir ce qui s'est passé et combien de temps il y est resté.
C'est une page importante de notre famille que nous aimerions tant connaitre avec tous nos remerciements pour une éventuelle réponse.
Françoise Blanchard Dinasquet

Le webmaster - Bonjour.
Je vous remercie pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'Histoire des Bagnes de Guyane.
En ce qui concerne votre grande père, je vous transmets une fiche qui vous permettra d?entamer vos recherches.
Je reste à votre disposition pour toute information complémentaire.
Cordiales salutations.
@+

30.Posté par senac roger le 27/02/2008 15:13 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
réponse à FRANCOISE BLANCHARD DINASQUET

Bonjour,
Malheureusement, je ne puis vous donner des indications sur votre grand père.
En effet, je suis né en 1937 à St Laurent du Maroni, parce que mon père y était surveillant. j'ai beaucoup de souvenirs sur certains bagnards, mais comme votre grand père est parti en 1940, je n'avais que 3 ans.
Je suis vraiment désolé de ne pouvoir vous renseigner., et merci à Monsieur Yvan Marcou et son équipe pour faire suivre toutes ces informations.
Roger SENAC;
Merci

31.Posté par josette LEBRET le 24/03/2008 13:48 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
mes recherches généalogiques m'ont fait découvrir une transcription de décès d'une tante de ma grand mère paternelle : Louise Eugénie LABOULAIS à Saint Laurent du Maroni le 8 mars 1906. Epouse de Abdelkader ben BOUZIOU. Agée de 48 ans environ. Ayant exercé la profession de journalière dans cette commune.
Dans mon enfance, j'ai entendu parler de "faussaire" condamné au bagne.
J'aimerais en savoir plus. Merci

32.Posté par le tiec danielle le 28/03/2008 17:26 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
mes recherches généalogiques m'ont faits découvrir un oncle à mon mari qui s'est marié juste avant de partir aux iles du salut (guyane),il est dcd le 17/09/1923 soit 4 ans après son départ pour le bagne,comment avoir des renseignements et avoir son acte de décès et ou le demander,il s'appelait alfred léon toutain (alias anthonio manso),merci d'avance pour la réponse;danielle.

33.Posté par SENAC roger le 28/03/2008 18:01 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Réponse à la demande de Josette LEBRET DU 24.03.08
IL devait y avoir des faussaires au bagne, mais je n'en ai connu qu'un seul Francis LAGRANGE.
Je regrette de ne pouvoir vous en dire plus.
Cordiales salutations
Roger SENAC.


34.Posté par SENAC roger le 28/03/2008 18:12 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Réponse à la demande de Danielle LE TIEC Du 28.03.08

Pour les Bagnards, je ne sais pas où vous devez vous adresser .
Par contre, pour les personnes nés en guyane comme moi, je m'adresse au :
SECRETARIAT D'ETAT A L'OUTRE MER
SERVICE DE L'ETAT CIVIL
27 RUE OUDINOT
75358 PARIS 07 SP
TEL 01.53.69.20.00
J'avais eu au téléphone un Monsieur charmant qui m'avait très bien renseigné. Il s'appelle M. MERTEN. les
archives de guyane ne sont pas dans un bel état m'avait -il dit.
je vous souhaite de réussir dans vos recherches.
Bien cordialement
Roger SENAC

35.Posté par SENAC roger le 28/03/2008 19:16 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

bonjour Monsieur MARCOU

je souhaiterai envoyé un mail à l'écrivain jean Pierre Fournier.
Auriez vous la gentillesse de me donner son mail ou me dire comment je peux faire ?
Je vous remercie
Bien cordialement.
Roger SENAC
Bonjour Monsieur SENAC,

Bonjour Monsieur SENAC,
J'ai le plaisir de vous transmettre le renseignement demandé
Cordiales salutations.
@+

36.Posté par le tiec danielle le 28/03/2008 19:46 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
merci beaucoup pour votre réponse rapide,je vais tenter d'avoir des renseignements en m'adressant au secrétériat d'état d'outre-mer,danielle.

37.Posté par SENAC roger le 30/03/2008 17:49 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
REPONSE A M. DREUILHE sur sa question du 16.12.2007

En 1936, sous l'influence du front populaire, on envisageait la fermeture des bagnes de Guyane, mais en raison de la déclaration de guerre de 1939, la guyane a été complètement coupée de la France. Il a fallu attendre 1946 pour amorcer la fermeture des bagnes . Le camp de CAYENNE a été fermé, ainsi que les camps de ST JEAN DU MARONI , CHARVIN , LES SABLES BLANCS, SAINT LOUIS, et les bagnards dans un premier temps ont été ramenés à SAINT LAURENT DU MARONI. Ceux des ILES DU SALUT, ainsi que ceux du camp des HATTES sont également revenus à ST LAURENT sauf une petite équipe de bagnards avec un surveillant est restée sur place pour l'entretien du phare qui servait au guidage des bateaux.
La fermeture du Bagne a été définitive en 1953.
Certains bagnards ont bénéficié de remises de peines.
Certains de ces libérés ont eu la possibilité de rentrer en métropole avec l'aide de l'armée du salut; d'autres sont restés en guyane.
Pour ceux qui n'avaient pas encore fini de purger leur peine , je pense, mais je n'en suis pas sûr, qu'ils ont dû être transférés dans les prisons de métropole.
Bien cordialement.
Roger SENAC

38.Posté par menacer le 01/04/2008 02:21 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
je cherche mon grand pere tranferer au guyane en 1928 pour meurtre, il sapplait arbaoui mohamed resident à biskra pays algérie .J'aimerais en savoir plus et je serai reconnaissant à quiconque pourrait me transmettre des renseignements sur lui.

Le webmaster.
Bonjour,

Merci pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'histoire des bagnes de Guyane.
En ce qui concerne votre grand père, j?ai le plaisir de vous transmettre une fiche qui amorcera vos recherches et que vous pourriez me communiquer, afin que dans le cadre de mon travail je puisse vous apporter les informations recueillies.
Restant à votre disposition.
Cordiales salutations.
@+

39.Posté par COUTAREL SERGE le 05/04/2008 19:22 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Je recherche tous renseignements sur mon arrière arrière arrière grand père mort à Sinnamary en juillet 1860, suite à une transportation consécutive, semble t il, à une condamnation aux Assises de Nancy en 1852 pour des faits de vol ou de violence ou autre à une époque quelque peu mouvementée suite à la prise du pouvoir par Napoléon III. Il s'appelait SCHWARTZ Marix et était originaire soit de Haute Marne (environs de Joinville) soit de Lorraine. Mes recherches généalogiques familiales "bloquent" actuellement sur lui car je ne peux obtenir de renseignements plus précis le concernant, n'ayant pas la possibilité de me rendre aux AD de Meurthe et Moselle pour consulter le dossier judiciaire ou la presse de l'époque, ce qui me permettrait de connaitre les raisons exactes de la condamnation et de la transportation, ni aux à Aix en Provence au siège du CAOM où un dossier le concernant existe et doit renfermer des éléments intéressants quant à son état civil et aux raisons de sa condamnation.
Ayant découvert par hasard ce site qui se consacre, entre autre, à l'information sur la réalité tragique du bagne je lance une bouteille à la mer et espère que quelqu'un sera en mesure de m'apporter quelques renseignements sur mon ancêtre direct, qui reste à ce jour une énigme.
Merci pour les réponses apportées à mon interrogation, et bravo pour ce site très interressant.

40.Posté par katef samir le 07/04/2008 13:07 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Bonjour . j
e viens par ce message pour vous demandez de bien vouloir me renseigne sur le vie de mon grand -pere conmdaner a cayenne en 1931pour un assassinat qu'il a commis en algerie (kabylie) est renenu a la maison en 1949 il s'appel KATEF amar presumer 1883 a beni-yenni en grande kabylie son acte il a commis a tazmalt wilaya de bejaia actualement. je vous saurez tres reconnaissant si vous pouvez nous aclairer sur cette histoire qui nous tourmente et ce point noiredans notre famille merci d'avance . sam.katef@caramail.com

Le webmaster.
Bonjour,

Merci pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'histoire des bagnes de Guyane.
En ce qui concerne votre grand père, j'ai le plaisir de vous transmettre une fiche qui amorcera vos recherches et que vous pourriez me communiquer, afin que dans le cadre de mon travail je puisse vous apporter les informations recueillies.
Restant à votre disposition.
Cordiales salutations.
@+

41.Posté par SOUKDEO le 13/05/2008 03:06 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
je suis à la recherche d'un grand oncle qui a lui aussi subi le bagne , il semblerait que cette famille habiterait à kourou mais je n'ai aucune preuve . Il avait pour nom SOUKDEO , je n'ai pas son prénom . Il etait d'origine indien, et venait de la guadeloupe. j'aimerais tellement les retrouver svp.merci

42.Posté par LUCAS le 30/05/2008 23:22 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Mon grand père a été fonctionnaire au bagne de Saint Laurent du Maroni dans les années 1910-1930. Son nom était FOUCAULT théodore, Je sais simplement qu'il dessinait et peignait très bien. Il écrivait aussi. Quelqu'un aurait-il des renseignements sur lui. Merci.

43.Posté par CORTES le 18/06/2008 21:38 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Je recherche des informations sur le grand pere de mon grand pere ANTOINE GABARES.Lorsque que j'étais enfant il me racontait souvent l' histoire de cet aïeul .Mon grand est décédé mais je n' ai aucune date ni précision exact sur ANTOINE GABARES sinon qu' il a été condamné pour le meutre d' un homme.

Merci pour l'intérêt que vous portez à notre site et à l'histoire des bagnes de Guyane.
En ce qui concerne votre aïeul, j'ai le plaisir de vous transmettre une fiche qui amorcera vos recherches et que vous pourriez me communiquer, afin que dans le cadre de mon travail je puisse vous apporter les informations recueillies.
Restant à votre disposition.
Cordiales salutations.
@+

44.Posté par simon le 20/06/2008 08:11 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
je vous signale la decouverte recente lors d'un chantier de construction a st laurent'un ancien cimetière qui contiendrait les restes de 300 anciens bagnards mais les informations a ce sujet restent confientielles Vous poyrrez trouver quelques informations sur le site de blada , mais peut etre les avez vous déja?

45.Posté par Evelyne C le 23/06/2008 01:43 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Pour une amie de Métropole, je recherche le lieu de décès de son A.A.G.P. Quartier de ROURA habitation Bon Ménage le propriétaire Prosper DOROTHEE (ou camp bleu) en octobre 1864.
Malgré mes recherches à Cayenne, rien aux Archives D. où les documents de cette époque tombent en confettis ainsi que dans la commune de ROURA. Quel grand malheur cette source s'envole en poussières.
Faute de moyens ou de connaissances et aussi le climat humide n'a rien arrangé !
Peut-être auriez-vous la réponse merci

46.Posté par Evelyne C le 23/06/2008 01:57 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Jusqu'à quel âge partait un condamné au bagne de Guyane dans les années 1860-1861 ?

Ce grand-père parqué au bagne de TOULON pendant plusieurs mois est parti par le bateau : "l'Amazone" le 23/07/1861, arrivé le 24/08/1861 en GUYANE. Il avait 35 ans. Mais son ami lui avait 58 ans a-t-il pu partir au bagne ?

47.Posté par Roussel le 13/07/2008 10:55 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Je cherche des renseignements sur mon grand oncle Théo schwartz d'origine lorraine mort à St Laurent du maroni dans les années 20. Il n'avait tué personne mais a été impliqué dans une affaire de cambriolage d'une mercière. comme il était bagarreur la police de choisy-le roi s'est débarrassé de lui. condamné à 20 ans de bagne il s'était évadé et à fini par mourir là-bas

48.Posté par FREY le 14/07/2008 21:47 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
je viens de lire différents commentaires qui ont attiré mon attention, le N° 44 ainsi que ceux de M. SENAC Roger
je recherche toujours

49.Posté par Daniel Lacombe le 01/08/2008 01:52 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler
Plusieurs versions de 'CAYENNE' (attribuée à A. BRUANT) existent, mais quelle est l' originale, si ce chant vous a touché autant que moi, et ceci, cela fait plus de 35 ans merci d' éclairer ma lanterne, (sans mauvais jeu de mot indécent), je serais ravi. Bien à vous. D.L.

Le webmaster - Bonjour,

Nous vous remercions pour l'intérêt porté à notre site et en particulier aux dossiers concernant les bagnes de Guyane.
En ce qui concerne la chanson CAYENNE, il subsiste encore des interrogations concernant son auteur...
Mais pour le moment, seul cet arrangement attribué à Aristide BRUANT nous est connu.

Pour écouter la version chantée gratuite rendez vous sur le site dailymotion avec le lien suivant:
http://www.dailymotion.com/tag/soul/video/x21w6p_enfants-de-cayenne

ou sur le site Punk Powa avec le lien suivant:
file:///Volumes/WD-HD02/LE%20BAGNE/Chansons%20du%20bagne/Cayenne!!!!!.webarchive

En espérant avoir répondu à vos attentes, recevez nos cordiale salutations.

50.Posté par senac roger le 05/09/2008 14:41 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Je lis le texte 48 de M.FREY, et je pense que son commentaire est coupé, car il s'arrête à la phrase je recherche toujours, .... y a t'il une suite. Merci de me préciser.
Bien cordialement à vous.

Bonjour,

Le texte est le suivant, et il n'est pas coupé, car M. FREY cherche toujours les traces de son grand-père, perdues depuis 1921.

je viens de lire différents commentaires qui ont attiré mon attention, le N° 44 ainsi que ceux de M. SENAC Roger
je recherche toujours
J'ai retrouvé sa trace en 1921 à Saint-Laurent du Maroni où il était journalier, mais depuis rien.
Un grand merci à tous ceux qui pourront m'aider à retrouver mon grand-père.

Cordiales salutations.
@+ Yvan Marcou

1 2

DOSSIERS DU BAGNE DE GUYANE | Classement des bagnes de Guyane par l'UNESCO: discours et soutiens.